Lakiska Mitchell Lakiska MitchellHABITANT DE NEW YORK Je suis arrivé(e) sur la côte est le : 07/11/2019 et j'ai envoyé : 26 J'ai : 30 ans et j'habite : un appartement dans le Queens à New-York. et ayant une préférence pour : les porteurs d'un chromosome Y et d'un instinct guerrier. Je possède : 38 dollars. On me confond souvent avec : Malaika Firth. Je dois mon joli minois à : Dreamy et mon pseudo sur la toile est : Sheol.
| Lakiska Mitchell Jeu 7 Nov - 19:37 Candide Crush Et j'ai des centaines de flèches dans le coeur | LES EXIGENCES Hey D'abord, merci de passer par ici et de t'intéresser à mon petit pré-lien Il s'agit là d'un personnage très important pour Lakiska, étant donné qu'il est directement rattaché à son évolution au sein du forum. Autant dire que tu es ô combien attendu p'tit chat.
Liens : Comme tu peux le voir, il s'agit là d'un lien extrêmement ouvert et sujet à tout un éventail de perspectives d'évolution : Tout est à faire et à construire. La part belle est faite au feeling. Qui sera sera, comme on disent les italiens Et comme j'aime souvent à le dire, ce seront les circonstances rpgiques, le charme ainsi que l'alchimie de l'instant qui nous guideront
Avatar, Prénom & Nom : Ils sont bien entendu à titre d'exemple et totalement libres. Les suggestions d'avatar sont simplement là pour te donner une idée de l'image que je me fais de lui. Mais libre à toi de partir sur une autre bouille Beau blond au teint laiteux ; ravissant brun bronzé : la balle est dans ton camp Tant que la tranche d'âge est respectée et qu'il te plaît, c'est l'essentiel.
Histoire : En dehors du second gros paragraphe (la rencontre furtive et le crush d'"Andy") : le reste est totalement libre. Le reste est juste là pour te donner des pistes. Libre à toi de t'en inspirer ou pas Je te laisse carte blanche et tout le loisir de t'approprier son histoire comme tu l'entends
RP & Activité : Je RP majoritairement à la seconde et troisième personne. Je suis un peu de "la vieille école" et aime rédiger des réponses relativement denses et longues. Mais don't worry, je peux m'habituer et tâcher de faire plus concis J'essaye dans la mesure du possible d'être assez réactif pour répondre (du jour au lendemain ou au sur-lendemain). Je n'ai aucune exigence en terme d'activité. Je sais bien que nous ne sommes pas des machines et avons une vie à côté Une ou deux petite(s) réponse(s) par semaine, tu vois ? Histoire que cela avance tout de même un peu et ne s'englue pas
Si tu as des questions, ma boîte à MP t'est grande ouverte Attention honey, si tu débarques, je te promets du feel, de la bonne vibe, du drama ... et pourquoi pas du leuuuuuve A travers un petit lien tout mignon, tout doux et très chill Je suis certain que nous ferons de grandes et belles choses, riches en émotions toi et moi Oh j'allais oublier le principal ... les cookies ! Parce que honnêtement, que serait la vie sans cookie ? |
LE PETIT LIEN ▸ Andy Evans ▸ Matthew Noszka, Alessandro Dellisola, Mikus Lasmanis, Nick Bateman, Drew Van Acker, Will Higginson, Niclas Gillis, Jade Hassouné, Luke Mitchell, Mariano Di Vaio, Christopher Mason, Marlon Texeira, Daniel Bederov, André Hamann, Sergio Carvajal.Entre 27-30 ans - Célibataire - Métier au choix - Groupe au choix (Libre) ( Petite musique d'ambiance). Andrew, c'est un new-yorkais. Un vrai, un pur, un dur. Un fringant Adonis qui a sa ville dans la peau et son pays chevillé au corps. Un enfant d'ici qui connaît toutes les bonnes adresses de la ville qui ne dort jamais. Tout les coins et recoins secrets aux airs de confettis paradisiaques, échappant aux assauts des touristes. S'il a été amené à voyager, notamment dans le cadre de ses études, il a toujours eu cependant le spleen et le vague à l'âme sitôt que "la grosse pomme" est loin de ses beaux yeux. Loin des yeux, mais jamais loin du cœur. Tel une rose mise sous cloche, il flétrit, fane et dépérit à petit à feu, lorsqu'il s'éloigne pendant trop longtemps des cieux de la cité bercée par les flots de l'Hudson. Alors, lorsqu'il paracheva ses études et obtint son diplôme ; regagner son "home sweet home" sous les suaves latitudes septentrionales, sonna comme une évidence. Qu'il lui semble bien loin le temps des études désormais ! C'est le petit dernier de la famille. Sa vie est à son grand dam réglée comme du papier à musique, et tend à s'engluer dans le marasme de la routine. Métro, boulot, cappuccino, resto, dodo ... . Les filles ? L'amour ? Le bel éphèbe déplore de guère pouvoir leur consacrer autant de temps qu'il le souhaiterait. Entre le travail, la famille, les potes, les sorties, le sport ; les moments propices à la recherche d'une moitié, ou d'une belle en compagnie de qui faire un bout de chemin, se résument à peau de chagrin. Pourtant ... il y a bien cette fille. Qui a élu domicile dans le palais de ses pensées et y réside le jour comme la nuit en sultane-reine. Cette fille dont il ne sait rien, et qui est portant parvenue à illuminer sa monotonie et débarbouiller la grisaille de son quotidien. Tout s'est passé alors qu'il rentrait d'une journée de dur labeur. Comme toujours, il passe devant l'aéroport. Quelle ne fut pas sa surprise d'assister au retour à bon port, des membres de cet escadron de charme répondant au nom d'hôtesses de l'air. La veste de blazer aux petites épaulettes. La jupe assortie. Le chemisier immaculé déboutonné jusqu’à la naissance de la poitrine, sans sombrer dans la vulgarité. Les escarpins vernis qui cassent et cambrent juste ce qu’il faut la silhouette. Le chignon banane impeccable et dont aucune mèche ne dépasse. Le foulard tricolore en organza serti d'étoiles aux couleurs de la patrie de l'oncle Sam. La petite toque trônant négligemment – et avec un zeste d’effronterie - sur le côté de la tête. Etaient-elles toutes plus belles les unes que les autres ? Le bellâtre ne saurait le dire, tant il ne voyait qu'"Elle". Comme fasciné. Envouté. Subjugué. Une beauté qui enivra ses sens et coûta d'innombrables loopings à son palpitant. "Elle" et sa taille s’élançant hardiment et tutoyant le mètre soixante-quinze. Son teint cuivré. L'aspect satiné de sa peau gorgée de soleil. "Elle" et ses interminables, fines et délicates jambes aux cuisses fusiformes. Sa longue, indomptable et souple crinière de lionne couleur café. Ses orbes félins de tourmaline parfaitement ciselés en oblongues, ténébreux et envoûtants. "Elle" et sa bouche sombre et charnue semblable à un bouton de dahlia. Ses jolies pommettes saillantes et l'ovale de son doux minois parfaitement dessiné. Ses petites épaules bien rondes. Sa gorge timide, mais bien taillée. Sa taille de guêpe, fine et marquée. Ses hanches voluptueuses, contenant tout les feux du Kenya. "Elle" et ses façons éprises. Son attitude évasive. "Elle" a les airs de Venise. Et la grâce qui divinise d'une lascive marquise. Sa façon de passer languissement sa délicate main dans sa forêt de boucles capillaires, en laissant ses cils s'entremêler et son doux rire cristallin habiller le silence du crépuscule. Sa démarche chaloupée, presque dansante, faisant sensuellement tanguer ses hanches voluptueuses. La manière si élégante qu'elle avait de trainer dans son sillage sa valise à roulettes couleur rubis. Autant de détails, étant parvenus à descendre tout au fond du cœur du sculptural bellâtre, et dont le simple souvenir suffit depuis pour durablement le réchauffer. Et quand elle passa à côté de lui ; que son regard de panthère le frappa d'une œillade dévastatrice ; que sa fragrance fleurant bon la bergamote taquina ses narines ; qu'elle lui offrit un sourire solaire et le lustre éclatant de sa dentition à l’émail ivoirin, allié à un raffiné signe tête ... Andrew jura que son myocarde allait véritablement imploser de l'intérieur.Depuis ce jour, l'Apollon reste toujours de longues minutes devant l'aéroport. Tant lors du trajet de l’allée que du retour. Caressant l'espoir de "la" revoir. Parfois il y a des jours sans, qui lui arrachent un cortège de soupirs occis. Et parfois, il y a des jours avec où il est le plus heureux des hommes. Souriant de façon attendrie. Le feu brûlant ses joues. Des étoiles dans les yeux. Le cœur galopant à bride abattue. Des étincelles crépitant dans sa région ombilicale. Pourtant pas timide pour un sou et plutôt à l'aise/dégourdi avec la gent féminine, il ne sait pas comment l'aborder et passe son temps à se couper les cheveux en quatre, en répétant inexorablement dans sa tête des amorces de phrases d'approche, afin de rompre la glace - déjà bien fondue. |