ft. cheldora

Les mots n'ont jamais été aussi ennuyeux. La coupe de champagne, à moitié pleine, entre tes mains te parait bien plus intéressante que les paroles sans saveur de ce notable américain dont tu as oublié le nom. Tant de banalités sur l'économie et la politique américaine te rendrait presque nauséeux, parce que t'es le genre d'homme à préférer évoquer la pluie et le beau temps plutôt que te t'efforcer à tenir une conversation dénuée de sentiments. Alors tes pensées s'échappent, oubliant les paroles de son interlocuteur tandis que tu hoches la tête automatiquement à chaque remarque. A l'intérieur de ta bulle tu n'entends plus rien. Les voix s'envolent dans cette immense salle de réception d'un luxueux appartement de l'upper east side de Manhattan. Un gala de charité... T'as envie de rire face à cette grotesque situation : les riches n'ont jamais été aussi ironiques qu'en ces instants. Récolter de l'argent pour les populations les plus pauvres aux quatre coins de la planète et boire dans des coupes de champagne en cristal en même temps. Et toi t'es là, tu t'inclues dans cette pitoyable ironie parce que c'est ce que t'as toujours fait. Parce que t'es le fils d'un roi et que t'as des obligations à gérer. En contre partie tu t'efforces de changer le monde sans utiliser ton titre bien trop présomptueux. Et puis, un soupire s'échappe par mégarde d'entre tes lèvres. Une excuse à demi-mot en prenant bien soin d'incliner la tête et tu t'enfuit vers l'un des grandes fenêtres de la salle. De là, t'as moins l'impression de suffoquer dans la foule. T'es seul et ça te convient, pour le moment. Si t'es là c'est parce que t'as prévu de remettre un chèque conséquent à l'association, ce que tu ferras de bon cœur, et parce que ta mère t'as demandé d'y venir en son nom. Quand la reine veut, on s'exécute. Pitoyable. Ton regard vagabonde de par et d'autre de la salle quand tu amènes ta coupe de champagne à tes lèvres. Mais le cœur se serre. « Merde. » Elle est là, Cheldora. Les chevelure blonde tombant en cascade le long de ses épaules et cette aisance presque irréelle quand tu la vois aborder l'assemblée. T'as bien envie de te cacher derrière un rideau, Arthur. Il manquait plus que ça pour la soirée ne soit que succession de désagréments.

cheldora & arthur

Chel valse entre les gens avec aisance, sa longue robe rouge laissant une marque dans les esprits, son odeur rappelant aux gens son nom de famille, le bruit de ses talons qui l'accueille avec un charisme certain. Offre ses amitiés, remercie les uns, félicite les autres. Elle sait que ce n'est qu'une façade, que ce n'est qu'une sorte d'énorme hypocrisie, mais au final, elle sait que de l'eau sera envoyé aux pays défavorisé, elle sait que des kits scolaire seront transportés, que grâce à ces faux sourires, grâce à quelques mots échangé, elle réussi parfois à faire augmenter le chèque de dix, parfois vingt millions, c'est un but qui s'accompli. Passe de visage en visage, de sourire en sourire, discute, blague, charme. Passe d'un groupe à l'autre, s'arrête à une table, demande à un serveur plus de champagne, le tout avec un naturel fou, le tout avec une humanité qui lui correspond que trop bien. Puis, au loin, les yeux qui se posent sur un homme parmi la foule. Le monde se change, le cœur loupe un battement, le sourire n'existe plus, s'abaisse, la foule des sentiments qui se déclenche au fond du cœur. Arthur. Tu te souviens, quand on rêvait d'y échapper ? Tu te souviens quand on rêvait d'être comme les enfants de ce petit parc d'à côté ? Quand on se cachait et qu'on espérait que jamais personne ne nous retrouverai ? Tu te souviens, quand on se suffisait ? Mes pas s'approchent vers lui, si un jour j'avais cru te retrouver ici. "Les tables sont plus assez grandes pour qu'on se cache en dessous." qu'elle lance, un sourire aux lèvres. Ça fait du bien de te voir, comme si j'avais un complice parmi la foule. On se cachait tout le temps, avant. C'est plus tellement possible, maintenant. "On peut juste sourire et faire semblant." faire semblant d'être comme eux, un verre à la main, un sourire accroché aux lèvres.

la tenue

ft. cheldora

La flûte de champagne est presque vide. Inconsciemment tu enveloppes ton esprit de douces effluves d'alcool dans l'espoir que cela finira par atteindre ton cœur. Mais ça ne fait qu'envenimer ce feu qui s'embrase un peu plus chaque seconde dans ton esprit. Si Margot avait été là, elle aurait su que t'envoyer dans une salle adjacente aurait été la meilleure des solutions. Mais elle est pas là, et quand le regard de ton ancienne meilleure amie croise le tient c'est l'incendie dans ta tête. Non, ex-petite-amie, parce que c'est bien sa trahison qui t'as rendu aussi hostile à son égard. Si elle n'avait été que ton amie tu n'en n'aurais rien eu à faire qu'elle se réconforte dans les bras de votre ami d'enfance. Rien que cette pensée de l'imaginer d'avoir été un jour dans les bras de cet homme te donne envie de tout envoyer en l'air. Mais t'es bien trop éduqué pour le faire, pas devant toute une assemblée et quelques photographes. Tu ne sais pas comment, mais tu arrives à rester si discret que ta photo n'apparaît que rarement dans la presse, si ce n'est lors d'importants événements. Le prince méconnu. Le prince inconnu. Ça te va parfaitement, pas la peine de briser ce secret pour cette femme. Mais ton visage reste fermé, la mâchoire se serre et ta main se resserre autour de ton verre. Sa condescendance te surprend. Un peu. Tu l'envies pour ce don qu'elle a de réussir à faire comme si de rien n'était. Comme si rien n'avait été. Comme s'ils étaient toujours amis... « Faire semblant c'est quelque chose que tu maîtrises à la perfection non ? » Tu réponds un brin sarcastique avant d'oser, enfin, planter ton regard dans le sien. Autrefois t'avais tellement d'amour pour ces azurs, mais aujourd'hui ils ne reflètent que ta douleur. « Tu n'as pas d'autres âmes à tourmenter dans un énième mensonge ? Mais non, le prince est une bien trop belle touche, tu ne comptes pas le lâcher c'est ça ? » Tu restes sur la défensive, parce que tu ne sais pas à quoi t'en tenir avec elle. Surtout avec autant de personnes autour de vous. Tu pries de toute ton âme qu'une personne arrive afin de couper court à ce début de discussion. Mais ce serait mentir que de dire qu'elle n'est plus rien pour toi, que ces paroles ne d'évoquent pas de souvenirs angéliques. T'es trop bête, Arthur.

ft. cheldora

J'arrive encore à le voir dans tes yeux, j'arrive à dire que t'es pas à l'aise ici, que la prochaine phrase qui sortira de tes lèvres sera l'équivalent d'un venin. « Faire semblant c'est quelque chose que tu maîtrises à la perfection non ? » Je souris tristement, les yeux dans les siens. "J'ai appris." sauf quand c'est de toi, qu'il s'agit. « Tu n'as pas d'autres âmes à tourmenter dans un énième mensonge ? Mais non, le prince est une bien trop belle touche, tu ne comptes pas le lâcher c'est ça ? » je fronce les sourcils, c'est comme une agression, d'un coup. Une belle touche ? C'est tout ce que tu crois être pour moi, une belle touche ? "J'te demande pardon ?" c'est comme se prendre un ouragan. J'étais prête au venin, j'étais prête à ce qu'il crache du mauvais, mais j'étais pas prête à tant d'intempérie. "J'ai jamais menti, Arthur. Jamais. Pas quand je t'embrassais, pas quand je me confiais, pas quand je t'offrais.." et lâche un soupire, est-ce que c'est utile, tout ça ? Rien n'a été un mensonge, pas mon corps qui ondulait, pas mes soupires qui me trahissaient, pas mes je t'aime qui se perdaient. "J'vais te dire Arthur, tu m'as abandonné toute seule là bas et tu es parti du principe que j'allais t'attendre. Pendant combien de temps ? Est-ce que t'es revenu un jour ? Est-ce que t'y a pensé, rien qu'une fois, à revenir vers moi ?" ça n'a pas effleuré ton esprit, pendant que tout ce qui m'importait, c'était nos baisers échangés, c'était cet amour si fou, si passionné. "Je me sentais abandonnée, je pleurais toutes mes soirées, et il était là. Et c'était pas tes bras, ça n'a jamais été les tiens, mais il était là." et il me faisait sentir voulue, désirée, il s'est jamais exilé de son côté. "Alors m'dit pas que t'es une belle touche quand j'étais la seule à être réellement amoureuse." parce que j'ai jamais vu le prince, j'ai jamais vu l'argent, j'ai jamais rien vu d'autre que l'humain. L'homme qui prenait soin de moi, l'homme qui me faisait croire que je valais plus qu'un titre, plus que ce que mon monde m'imposait. Et je regrette de ne pas t'avoir suivi, de pas t'avoir supplié de m'emporter. Et tu m'en veux d'être resté, et je t'en veux d'être parti, parce que c'était nous, Arthur. Nous, à l'infini.

ft. cheldora

Les regards ne sont qu'accusateurs. La tension monte dans la voix de la  jeune femme quand tu lâches ce que t'as sur le cœur. Aux premières secondes, tu coupes court à cette discussion bien trop vaniteuse et futile, compte tenu du passé commun. Tu ne sais pas faire semblant Arthur. En ce cet instant tu espères encore que l'un des invités de la soirée vienne t'aborder pour te détourner de l'attraction que te procure Cheldora au plus profond de ton être. Tu ne ressens rien d'autre qu'une grande colère quand tu la croises, d'abord sur le campus de Princeton et parfois dans des soirées telle que celles-ci. Pourtant quand tes yeux rencontrent les siens il y a toujours ce pincement au cœur qui te rend nostalgique, parce que tu l'as tellement aimé pendant tant d'années. Mais aujourd'hui tes paroles n'ont que le goût de la rancœur que tu t’efforces d'articuler quelques mots à son attention. « La seule ? » Que tu répètes incrédule. Tes sourcils se froncent sévèrement quand elle répond à tes sarcasmes, et puis t'as envie de rire face à l'ironie de la situation. La marquise, fine manipulatrice, retourne la situation à son avantage. « C'est tellement facile de m'accabler de tous les tords de cette façon. » Le ton de la voix reste neutre, parce que t'as pas envie d'attirer les regards indiscrets. Pas ce soir, ni dans ces circonstances. « Tu savais que c'était important pour moi de partir, de quitter l'Angleterre pour un ailleurs, le temps de mes études. Pas une seule seconde tu n'as quitté mes pensées. Tu étais la seule personne qui aurais pu me faire revenir, mais t'as rien fait. Visiblement tu préférais user de tes charmes devant mon meilleur ami pour combler ta solitude. J'appelle pas ça de l'amour. » Tes paroles deviennent dures et tranchantes. Tu ne l'as jamais trompé, Arthur. Ô grand jamais cela ne t'aurait traversé l'esprit. Pendant que tu t'évertuais à afficher ton amour à qui voulait bien l'entendre, de l'autre côté de l'océan elle se payais ta tête. Le duc et la marquise, un beau duo que tu n'as su déceler avant ton départ, alors qu'ils étaient proches de toi. T'étais trop crédule et tu as perdu les deux personnes les plus importantes de ta vie. Tu serres les dents face à cette pensée avant de terminer d'une seule traite ta coupe de champagne. « On n'était pas fait pour être ensemble. Les filles faciles c'est pas mon genre. » Ça fait mal. T'espère qu'elle aura mal, autant que toi le jour où t'as découvert sa tromperie. Ce jour-même où tu étais revenu en Angleterre dans l'unique but de lui demander sa main.

ft. cheldora

Les regards se perdent, la foule ne nous remarque qu'à peine, deux personnes qui discutent, qui parlent, qui font connaissance. La vérité est toute autre ; une fille toujours amoureuse du même homme, qui se voit avec lui pour le reste de sa vie. « La seule ? » La seule, apparemment. Je me suis faite à l'idée, que cet amour n'était que d'un côté, que ton ambition et ta fierté passait avant un amour de vacances, comme t'aurais pu si bien le qualifier. « C'est tellement facile de m'accabler de tous les tords de cette façon. » secoue la tête ; "Je t'accable pas Arthur." je te dis les choses comme elles le sont, comme elles sont vraies. Je n'ai jamais nié avoir été dans ses bras. Ne nie pas m'avoir abandonné. « Tu savais que c'était important pour moi de partir, de quitter l'Angleterre pour un ailleurs, le temps de mes études. Pas une seule seconde tu n'as quitté mes pensées. Tu étais la seule personne qui aurais pu me faire revenir, mais t'as rien fait. Visiblement tu préférais user de tes charmes devant mon meilleur ami pour combler ta solitude. J'appelle pas ça de l'amour. » les sourcils se froncent, la voix reste basse malgré la colère interne. On sait se tenir, on a appris, alors qu'on veut uniquement bouillir. "De quoi tu parles ? Quels charmes ?" secoue la tête ; "J'étais celle qui pouvait te faire revenir mais t'étais celui pour qui je pouvais partir, Arthur. Je t'aurais suivis, j'aurais été partout avec toi, si t'avais demandé." ne me parle pas d'amour, parce qu'être amoureuse du même homme pendant des années, si ce n'est pas de l'amour, je te demande bien ce que c'est ? Et moi je t'ai toujours aimé, je n'ai jamais été en colère, je n'ai jamais été cette personne qui se lèvera contre toi, je ne le serai pas. Je t'accompagnerais malgré le vent et les orages, je tiendrais ta main alors que même que tu me repoussera. Je me dis que c'est impossible, te détester n'est pas de mon niveau, sauf peut-être quand tu utilises ces mots. « On n'était pas fait pour être ensemble. Les filles faciles c'est pas mon genre. » Et comme d'un réflexe, le verre dans ma main se fait propulsé par ma main, le contenu se rétamant sur le visage de l'homme. Je me déteste de faire ça, mais une fille facile, vraiment ? Quand tu as été le seul dans mon cœur ? "J't'interdis de dire ça." J'ai peut-être mes tords mais t'as aussi les tiens, j'ai peut-être été dans ses bras mais tu m'as lâchement abandonné, tu m'as oublié, dans ce pays dans lequel on s'était construit. On rêvait d'une vie meilleur, d'un monde meilleur, et nos enfants allaient être des plus heureux.

ft. cheldora

Les traits de ton visage se durcissent face à l'absurdité de la situation. Les rôles s'inversent et toi, Arthur, t'as l'impression d'être la pire de ordure à ses yeux. Ça bouillonne à l'intérieur de ton esprit, t'as envie de crier, de quitter la soirée en courant jusqu'à en perdre le souffle, mais tu arrives à contenir toute cette effervescence. Parce que t'es un Windsor. La colère que tu contiens ne pourrait se discerner qu'au fond de tes pupilles, la même que t'arrives à analyser dans celles de Cheldora. Et puis tu détournes ton regard du sien en secouant la tête. Un soupire s'échappe d'entre tes lèvres. C'est pas possible. « Ok. Admettons qu'on est tous les deux été dans l'erreur ? Qu'est-ce qui t'empêchait de me rejoindre ? Louis ? Parce qu'aussi loin que je souvienne, je ne t'ai jamais interdit de m'accompagner. » Depuis bien des années tu avais planifié tes études, avec tes sœurs, et elle le savait Cheldora. « Tu ne t'es pas gênée pour venir empiéter dans mon quotidien après la rupture. » Quelques mois après. En apercevant, de loin, la silhouette de la jeune femme tu avais pensé devenir complètement dingue. Mais il s'était avéré qu'elle était à Princeton. Le monde n'est-il pas assez grand ? T'avais pas le cœur à revoir son visage, pas maintenant, ça faisait trop mal. T'as envie de couper court à cette conversation pleine de reproches, mais les mots t'échappent. Ils se faufilent entre tes lèvres. Et ce sont les paroles de trop. Les voix se taisent subitement, le silence s'installe. Le souffle coupé tu portes une main à ton visage, frottant tes paupières avant d'ouvrir les yeux. Tu la mérité, tu le sais. T'as juste le temps de voir l'expression de la jeune femme avant de tourner la tête. Les regards sont tournés vers vous, tu sourit nerveusement. Il ne manquait plus que ça. « Je suis désolé. » Parce que la différence c'est que toi tu sais reconnaître tes erreurs. « Un jour, peut-être qu'on trouvera un terrain d'entente. Mais pas aujourd'hui. » Il faut que tu pense à passer par la salle de bain, avant de remettre le don au nom de ta famille, ça fait mauvais genre pour un prince.

ft. cheldora

Dans la pièce, je ne vois que toi. C'est fou, la foule est épaisse et pourtant tu es le seul qui attire mes yeux, tu es le seul avec qui j'ai envie de parlé, avec qui j'ai envie de passer mon temps, à qui j'ai envie de tenir la main. Et je vois que tu me repousse, je vois que t'as pas envie de ça, est-ce que t'as envie de me voir ? « Ok. Admettons qu'on est tous les deux été dans l'erreur ? Qu'est-ce qui t'empêchait de me rejoindre ? Louis ? Parce qu'aussi loin que je souvienne, je ne t'ai jamais interdit de m'accompagner. » secoue la tête, "Non, pas Louis." il n'est pas aussi puissant que toi dans mon être, nos âmes ne sont pas si compatibles. Baisse les yeux, soupire ; "C'est juste que tu m'as jamais clairement demandé de venir avec toi, et c'est la seule chose que j'attendais." que tu le dises clairement, que tu l'offre, que tu me tende une main, et j'aurais offerte la mienne. « Tu ne t'es pas gênée pour venir empiéter dans mon quotidien après la rupture. » Parce que je me suis rendue compte que t'avais été blessé, je me suis rendue compte que tu tenais à moi, que tu me voulais comme je te voulais. J'avais juste besoin de cette sécurité, besoin de me dire que j'étais la bonne pour toi, parce que nos rangs n'étaient pas compatible et que ta famille allait probablement me rejeter, parce que j'avais pas envie d'être ce rôle mais juste cette femme que je suis avec toi. Je voulais pas être marquise et toi prince, je voulais juste qu'on soit Cheldora et Arthur, que ce soit écrit sur nos invitations de mariage de manière la plus simple du monde. Sauf que tu m'insulte, que tu vas trop loin, que mon verre se jette et qu'à peine le geste fait, je le regrette. « Je suis désolé. » et je soupire, lasse, et baisse les yeux. « Un jour, peut-être qu'on trouvera un terrain d'entente. Mais pas aujourd'hui. » et je passe ma main dans ma nuque, comme je le fais quand je ne suis pas à l'aise, quand ça ne va pas, quand je termine dans une situation comme celle-là. "Ouais.." triste vérité, mais c'est peut-être pas l'endroit, ni même le moment pour tout ça. "Laisse-moi au moins t'aider pour.. ça." le champagne sur le visage, sur le haut de la chemise, laisse moi réparer mes erreurs. Parce que c'est ce à quoi je dédie mon temps ; tenter de réparer mes erreurs auprès de toi.